COVID-19 : les avantages des chèques cadeaux dématérialisés

COVID-19 : les avantages des chèques cadeaux dématérialisés

Très appréciés des Français, les chèques cadeaux font partie des avantages salariés les plus attribués par les entreprises : ils représenteraient plus de 4 milliards d’euros en France en 2019 contre seulement 1,3 milliard en 2004.

Offrir des chèques cadeaux à ses salariés présente de nombreux avantages : fidéliser, motiver et récompenser ses collaborateurs, attirer de nouveaux talents et, surtout, ils permettent d’augmenter le pouvoir d’achats des collaborateurs.

Finie l’époque où chaque salarié recevait un carnet de chèques cadeaux papier. Aujourd’hui, à l’ère du numérique, les chèques cadeaux dématérialisés sont de plus en plus demandés. Quels sont les avantages des e-chèques cadeaux pour les gestionnaires ? Et ceux pour les utilisateurs ? À l’heure de la crise sanitaire, pourquoi favoriser les chèques cadeaux dématérialisés ?

 

Le chèque cadeau dématérialisé, c’est quoi ?

Un chèque cadeau, c’est un bon d’achat prépayé offert par le CSE aux salariés de l’entreprises. Grands magasins, sites de ventes en lignes : presque toutes les enseignes acceptent les chèques-cadeaux à travers la France. Utilisée depuis plusieurs années, la solution a connu une belle évolution.  

Aujourd’hui, sa version dématérialisée est de plus en plus plébiscitée. Le e-chèque cadeau se présente sous la forme d’une cagnotte en ligne que vos bénéficiaires pourront utiliser pour des achats dans l’enseigne de leur choix.

Il existe plusieurs types de e-chèque cadeau sur HelloCSE :

  • E-chèque cadeau général : Distribué en une ou plusieurs fois, n’importe quand dans l’année, il est valable sur tous les produits et toutes les enseignes du catalogue HelloCSE. Les chèques-cadeaux sont exonérés de cotisations et contributions de Sécurité sociale lorsque leur montant global ne dépasse pas 5% du plafond mensuel de la sécurité sociale, soit 171 euros pour l’année 2020.
  • E-chèque cadeau culture : Pas de limites, faites-vous plaisir ! L’e-chèque culture est exonéré, déplafonné et permet des achats toute l’année dans des enseignes culturelles : presse, cinéma, places pour des parcs de loisirs, des spectacles, des musées, des châteaux…
  • E-chèques évènements URSSAF : Des e-chèques cadeaux dédiés à chaque évènement URSSAF : naissance/adoption, noël des enfants, noël des salariés, mariage/pacs, rentrée scolaire, fête des mères/pères, départ à la retraite… (voir article dédié ?)

Les avantages des e-chèques cadeaux pour les élus CSE

Les chèques cadeaux c’est bien, les chèques cadeaux dématérialisés, c’est encore mieux ! Plus de pertes ou de risques de vol côté salariés, et le e-chèque cadeau est une solution simple à mettre en place du côté des élus du CSE.  

Les + des e-chèques cadeaux HelloCSE pour les élus CSE :

  • Personnalisation des critères d’attribution ;
  • Distribution immédiate aux bénéficiaires ;
  • Utilisation en direct sur la plateforme ;
  • Cumulables avec les réductions des offres HelloCSE.

Oubliez les frais d’expédition et de traitement, la distribution aux bénéficiaires se fait en ligne, de manière immédiate ou différée.

La dématérialisation permet aussi de gagner de l’argent et du temps : plus besoin de stocker, trier et d’envoyer les chèques cadeaux comme avant. Définissez le montant de la dotation, paramétrez les critères d’attribution et tout est bon. Les élus CSE gagnent ainsi du temps sur les heures de délégation, il n’est plus nécessaire d’anticiper et gérer les livraisons des e-chèques cadeaux, puisque l’attribution est immédiate !

Et la dématérialisation s’inscrit aussi dans une attitude éco-responsable : pas d’impression de cartes, pas de papier, donc pas d’envoi…

Pensons écologie et économies 😊

 

Les avantages des e-chèques cadeaux pour les salariés

La dématérialisation des chèques cadeaux n’est pas seulement avantageuse pour les élus CSE, elle l’est tout autant pour les collaborateurs.

Le format des e-chèque cadeau est optimal : en quelques clics, les salariés consultent leur solde de chèque cadeau en temps réel sur la plateforme et le dépensent quand ils le souhaitent, en ligne ou en boutique.

Ces chèques cadeaux sont utilisables 24h/24 et 7j/7 sur un grand nombre d’enseignes partenaires (Disneyland, Pathé Gaumont, Darty, Sephora, Zalando, Fnac, Decathlon, Pierre et vacances…). Les collaborateurs ont une liberté complète de l’utilisation des e-chèques cadeaux puisque le collaborateur peut utiliser le chèque cadeau en une ou plusieurs fois, au centime près, et compléter l’achat avec sa carte bancaire. Le collaborateur peut aussi suivre en direct le solde disponible depuis son espace client.

 

Les + des e-chèques cadeaux HelloCSE pour les salariés :

  • Pas de risque d’oubli dans un tiroir : le-chèque cadeau vous suit partout, même dans votre smartphone
  • Pas de risque de perte ou de vol : l’e-chèque cadeau est lié au compte utilisateur
  • 171€ de e-chèques cadeaux = jusqu’à 427€ de pouvoir d’achat pour chaque salarié car les chèques cadeaux dématérialisés sont cumulables avec les remises HelloCSE !

 

COVID-19 : Les chèques cadeaux DÉMATÉRIALISÉS, la solution idéale !

3 CSE sur 4 célèbrent Noël en organisant un évènement ou en faisant un cadeau aux bénéficiaires. Cette année, la crise sanitaire a impacté ces traditions organisées généralement par les élus et très appréciées des salariés. Les contraintes rendent difficiles, voire impossibles, certaines célébrations et dotations du CSE :

  • Arbre de Noël : enfants et parents se rassemblent, il est donc peu évident de maintenir les distances
  • Repas de Noël : distanciation difficile entre les convives et port du masque intermittent, places limitées dans les restaurants
  • Voyages de groupe : destinations limitées, proximité accrue entre les participants
  • Places pour des événements (matches, spectacles, parcs) : offre réduite entre tournées annulées et restrictions en vigueur
  • Distribution de cadeaux, bons d’achat et chèques papier : les présents passent de mains en mains
Les chèques cadeaux dématérialisés, la solution idéale !

Pas de panique, nous avons la solution : avec le chèque cadeau dématérialisé, 0 risque, 100% de satisfaction !

Dans le respect des mesures sanitaires, avec les chèques cadeaux dématérialisés, il n’y a pas de distribution en mains propres. En 24h top chrono, les chèques cadeaux seront attribués et envoyés automatiquement par e-mail à tous les collaborateurs qui les recevront, où qu’ils soient – même ceux en télétravail.

Bien sûr, les e-chèques cadeaux sont distribuées dans le respect des règles URSSAF.

 

 

En résumé, le chèque cadeau dématérialisé reste le meilleur moyen de concilier respect des mesures sanitaires et bonheur des collaborateurs.

Et avec HelloCSE, les chèques dématérialisés sont cumulables avec les réductions de la billetterie, qui atteignent jusqu’à -80% toute l’année ! Une mise en place et une gestion simple pour les élus CSE, une utilisation en ligne accessible 24h/24 et 7j/7 par les collaborateurs : tout le monde est gagnant !

Le CSE : avantages et inconvénients

Le CSE : avantages et inconvénients

La réforme des instances représentatives du personnel (IRP) implique la mise en place du Comité Social et Économique dans toutes les entreprises d’au moins 11 salariés (effectif atteint pendant au minimum 12 mois consécutifs) depuis le 1er janvier 2020.

Ce changement a entraîné de nombreuses modifications par rapport au fonctionnement précédemment en place.

Vous devez mettre en place un CSE dans votre entreprise ? En tant que futurs élus ou collaborateurs concernés par l’exercice du CSE, vous souhaitez en connaître les avantages et les inconvénients ? Nous répondons à toutes vos questions !

Une simplification du fonctionnement 

Avant le CSE, les trois anciennes instances menaient des actions bien définies qui pouvaient toutefois traiter d’un même sujet :

  • Les délégués du personnel (DP) ;
  • Le comité d’entreprise (CE) ;
  • Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). 

L’instauration de cette instance unique harmonise donc les tâches autrefois dispersées.

Missions liées à la SSCT

Les missions de la CHSCT sont désormais assurées par le Comité Social et Économique (CSE) et par la Commission santé sécurité et conditions de travail (CSSCT) si elle existe.

La mise en place d’une commission SSCT se fait par accord d’entreprise mais n’est obligatoire qu’au sein des CSE d’entreprises d’au moins 300 salariés, ainsi que dans certaines entreprises dites à risques (installations nucléaires, sites SEVESO, etc.).

C’est l’employeur qui la préside et elle se compose d’au moins trois élus  désignés par le CSE.

La CSSCT se voit confier, par délégation du CSE, tout ou une partie de ses prérogatives en santé, sécurité et conditions de travail. Elle étudie par exemple des dossiers particulièrement cruciaux pour l’entreprise et qui nécessitent des études approfondies à communiquer, par la suite, au CSE.

Si une structure le souhaite, elle est en droit d’instaurer une CSSCT, et ce quel que soit l’effectif de l’entreprise, soit par un accord d’entreprise, d’un accord commun entre l’employeur et le CSE (en l’absence de délégués syndicaux).

La création de cette commission permet aux élus d’organiser le traitement des questions de santé, sécurité et conditions de travail. Ils choisissent quels dossiers plus lourds déléguer aux membres de la CSSCT afin d’en optimiser le traitement. C’est également un bon moyen de confier des missions aux suppléants car ils peuvent candidater pour siéger à la commission.

Mais une réduction du nombre d’élus

Depuis les ordonnances Macron, la baisse du nombre d’élus au comité social et économique par rapport aux anciennes instances représentatives est une conséquence largement déplorée par les acteurs du dialogue social en entreprise.

Cela oblige les membres du CSE à être plus polyvalents, et à adopter une vision plus transversale.

Le nombre d’élus dépend de la taille de l’entreprise, c’est-à-dire de son effectif, et non de sa forme juridique :

  • 1 à 2 élus dans les entreprises de – de 50 salariés ;
  • 4 à 11 élus dans les entreprises de 50 à 300 salariés ;
  • 11 à 16 élus dans les entreprises de 300 à 399 salariés…

Autre inconvénient apparu avec le passage au CSE : les membres suppléants n’ont par défaut pas le droit d’assister aux réunions du CSE, bien qu’ils épaulent les titulaires dans leurs missions.

C’est désormais un droit à négocier avec l’employeur et non plus un dû.

Nombre d’heures de délégation

Si vous étiez habitué aux volumes d’heures de délégation des anciennes IRP, sachez qu’ils ont diminué avec le passage au CSE. Un autre inconvénient qui a contrarié de nombreux experts de la représentation salariale, puisque les élus se retrouvent dans une situation où ils ont davantage de missions avec moins de temps à leur consacrer.

Le nombre d’heures de délégation dont dispose un titulaire du CSE dépend en effet des effectifs de l’entreprise. Ce nombre varie de 10 heures mensuelles (pour les entreprises de 11 à 24 salariés) à 34 heures (pour les entreprises de 9750 salariés et plus).

Par exemple, dans une entreprise de 50 salariés, avant la mise en place du CSE, il pouvait y avoir jusqu’à 8 représentants titulaires du personnel avec un total de 96 heures mensuelles de délégation maximum. Dorénavant, il n’y a plus que 4 représentants du personnel disposant de 72 heures de délégation.

Bénéficier de plus d’expertises : un inconvénient peut devenir un avantage

Comme expliqué précédemment, les questions économiques, de sécurité et d’hygiène ne sont plus exclusivement réservées au CHSCT ou à quelques membres du CE.

Cet impératif de la polyvalence peut toutefois se transformer en opportunité pour des aspirants élus. C’est l’occasion, pourquoi pas, de se former sur de nouveaux sujets et de développer ses champs de compétences et d’expertise.

Dans cette optique d’acquisition des savoirs essentiels à la conduite de leur mandat, les élus peuvent bénéficier de plusieurs formations.

Formation « économique »

Dans les entreprises de plus de 50 salariés, les membres du CSE bénéficient d’une formation économique d’une durée de 5 jours maximum, traitant de différents thèmes leur permettant d’assurer leurs missions d’ordre économique et social : formes juridiques, base de la comptabilité, mécanismes de restructuration…

À savoir :

Cette formation est renouvelée tous les 4 ans, que les mandats soient consécutifs ou non.

Formation « sécurité et hygiène »

Les membres du comité bénéficient également d’une formation nécessaire à leurs missions en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail.

Dans les entreprises de moins de 300 salariés, il y a 3 jours de formation minimum à prévoir alors que dans les entreprises de plus de 300 salariés, c’est 5 jours.

En l’absence d’une commission santé sécurité et conditions de travail, aucune durée est imposée.

À savoir : 

Il existe plusieurs formations facultatives intéressantes à suivre. 

Par exemple, pour former les élus à une fonction particulière :

  • Formation du secrétaire du CSE ;
  • Formation du trésorier du CSE :
  • Formation référent harcèlement sexuel et agissements sexistes ; 
  • Formation représentant de proximité.

D’autres formations sensibilisent tous les élus sur des sujets plus globaux, qu’ils soient titulaires et suppléants :

  • Formation réglementation et contrôle URSSAF ;
  • Formation pour comprendre et utiliser sa base de données économiques et sociales (BDES) ;
  • Formation sur la mise en place d’un règlement intérieur.

Une souplesse dans la gestion de ses budgets

Le budget du CSE est divisé en 2 parties : le budget de fonctionnement et le budget des activités sociales et culturelles (ASC).

Le CSE jouit d’une agilité dans la gestion de ses budgets dont ne disposait pas le CE auparavant. En effet, la séparation des budgets est aujourd’hui moins contraignante. 

Par exemple, le CSE peut effectuer des transferts entre les deux comptes. Le comité a ainsi la possibilité d’allouer jusqu’à 10% du reliquat annuel de son budget dédié aux activités sociales et culturelles (ASC) à son budget de fonctionnement.

Il peut également verser tout ou une partie de l’excédent annuel de son budget de fonctionnement sur son budget social et culturel.

Important : 

Cette décision ne peut être prise d’une fois le bilan comptable annuel effectué, et doit faire l’objet d’une délibération qui figure dans le procès-verbal de réunion. 

De plus, le montant transféré ne peut pas dépasser plus de 10% du budget dédié au fonctionnement.

Le pouvoir de négocier des accords collectifs

Par accord, le CSE peut se voir confier le pouvoir de négocier, de conclure et de réviser les accords d’entreprise ou d’établissement, un pouvoir auparavant dévolu aux délégués du personnel.

Ce nouvel acteur en matière de négociation collective devient alors le « conseil d’entreprise ».

Les acteurs de cette négociation collective diffèrent selon l’effectif de l’entreprise.

Entreprise de 11 à 50 salariés

Dans les entreprises dont l’effectif est compris entre 11 et 50 salariés, selon l’article L2232-23-1 du Code du travail, « en l’absence de délégué syndical, les accords d’entreprise ou d’établissement peuvent être négociés, conclus, révisés ou dénoncés » : 

  • Soit par un ou plusieurs salariés mandatés par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives (OSR) ;

  • Soit par un ou des membres titulaires de la délégation du personnel du CSE.

À retenir :

Les accords et les avenants de révision conclus avec un ou des membres de la délégation du personnel du CSE, mandaté ou non par une ou plusieurs OSR, ne sont alors valides que s’ils ont été signés par des membres du CSE représentant la majorité des suffrages exprimés lors des dernières élections professionnelles.

Entreprise de + 50 salariés sans délégués syndicaux

En revanche, au sein des entreprises d’un effectif supérieur à 50 salariés qui comptent des délégués syndicaux (DS), le CSE n’a aucune compétence pour négocier des accords collectifs. 

Renouer le dialogue interne

Les actions de la DUP n’étaient pas connues des salariés ? Les activités sociales et économiques proposées par le CE ne faisaient pas l’unanimité ? 

La mise en place d’une toute nouvelle institution comme le CSE est un bon moyen de renouer le dialogue avec les collaborateurs et de regagner leur confiance. C’est un avantage non négligeable de l’émergence du CSE : un nouveau comité, pour de nouveaux objectifs ! 

L’instauration du comité est pile l’occasion de repenser la communication autour des actions des élus, trop souvent négligée, voire inexistante, faute de temps et de budget… Le CSE a pourtant un rôle clé et donc beaucoup à partager aux collaborateurs ! 

Voici quelques outils de base indispensables pour votre communication : 

  • Un intranet (actualités, newsletters, calendrier, sondages, annuaire, messagerie…) ;
  • L’emailing, ce qui permet de pousser l’actualité en direct aux collaborateurs ;
  • Un journal interne ;
  • Un tableau d’affichage pour afficher vos comptes-rendus ; 
  • Un livret d’accueil, utile pour les nouveaux collaborateurs.

HelloCSE peut d’ailleurs vous accompagner dans votre démarche et répondre à vos besoins en matière de communication : mise en place d’un intranet personnalisé et clés-en-main, création de logo et d’une identité graphique pour le CSE… N’hésitez pas à nous contacter 🙂

Nous avons essayé de répondre à toutes vos questions afin de vous accompagner au mieux pour la mise en place de votre CSE… Vous en avez d’autres ? Posez-les en commentaires !