Voyager à petit prix grâce à son CSE

Voyager à petit prix grâce à son CSE

Le comité d’entreprise, ancêtre du CSE, était notamment connu pour l’organisation de voyages. Il appartient en effet au comité, entre autres œuvres sociales, de faciliter l’accès aux vacances des bénéficiaires et booster leur pouvoir d’évasion en puisant dans son budget activités sociales et culturelles.

Historiquement adeptes de l’organisation de voyages de groupe, les élus favorisent aujourd’hui l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle de ses ayants-droit en leur octroyant plutôt un panel de remises pour des vacances moins chères de leur côté. Plusieurs dispositifs permettent ainsi de voyager à petit prix grâce à son CSE.

Plateforme d’avantages salariés pour des offres préférentielles sur les vacances

Votre comité vous offre l’accès à une plateforme d’avantages comme HelloCSE ? Bonne nouvelle ! Vous y trouverez de nombreuses remises auprès des plus grands voyagistes : il y en a pour tous les goûts, quel que soit votre budget et vos envies. Pensez-y avant de réserver votre séjour pour voyager à petit prix.

Un code promo Club Med, des réductions pour Center Parcs, des remises cumulables chez Pierre & Vacances… Que vous vouliez partir en solo, en couple, entre amis ou en famille, vous trouverez forcément des offres qui vous intéressent, il ne restera plus qu’à choisir. Commencez par choisir une destination : pour vos prochaines vacances, êtes-vous plutôt mer, montagne, campagne ou ville ?

Départ à la plage imminent ? Vous avez l’embarras du choix… résidences, clubs, campings…
Si vous optez pour des vacances à la montagne, renseignez vous sur les offres de résidences ou de clubs all inclusive comme Belambra, qui proposent en plus de l’hébergement de nombreuses activités pour toute la famille.
Envie de partir pour un city break ? Regardez du côté des hôtels mais pensez aussi à consulter les offres d’appart hôtels, qui vous évitent de manger systématiquement dehors pour garder du budget pour vos visites !

Vous prévoyez de partir en vacances mais vous ne savez pas où aller ni quoi faire ? Pourquoi ne pas en profiter pour partir en séjour sportif avec l’UCPA, pour vous défouler et rencontrer d’autres voyageurs ? Regardez aussi du côté des vacances insolites (nuit dans une yourte, destinations atypiques…) ou des séjours éco-responsables.

Le standing est aussi déterminant au moment de réserver vos vacances, c’est pourquoi votre plateforme d’avantages salariés négocie pour vous des remises auprès d’enseignes de voyages de tout type, qui vont des ventes privées de voyage de luxe comme Verychic aux campings très accessibles en passant par les offres de voyages à prix cassé de Lastminute.

Vous avez réservé vos vacances et il ne reste qu’à s’occuper des transports ? Une autre astuce pour voyager à petit prix grâce à son CSE est de rester sur votre espace HelloCSE et commandez vos billets d’avion au meilleur prix garanti, prévoyez votre transfert en ferry, louez une voiture sur place ou même un bateau pour vivre une expérience inoubliable !

Voyager à petit prix via un service de réservation de voyages sur-mesure offert par le CSE

Vous n’avez pas envie de passer des heures à comparer les sites des voyagistes pour trouver le voyage de vos rêves ? Vous avez peur de réserver des vacances qui ne correspondent pas à vos attentes ? HelloCSE a pensé à tout ! Rendez-vous sur HelloCSE Voyages, votre outil de réservation de voyages sur-mesure au meilleur prix.

Vous y trouverez une sélection de séjours clés-en-main conçus par des experts voyage avertis. Vous pouvez alors faire votre choix parmi les inspirations (city-break, petit prix, séjour en famille, incontournable ou insulte, voyage gastronomique…) ou chercher un séjour par destination, parmi +65 pays aux quatre coins du globe. Un week-end en amoureux en Italie, une semaine en famille dans le sud de la France ou l’Ouest américain… à vous de choisir !

Avion, hébergement, location de voiture, activités… tout est prévu pour des vacances inoubliables, quel que soit votre futur lieu de villégiature. Envie de rajouter une nuitée, d’opter pour un hôtel plus haut de gamme, de changer une activité par une autre qui vous plaît davantage, faire un détour par une autre ville ? Pas de souci : vous pouvez TOUT modifier en un clic et le prix s’ajuste en temps réel.
Si vous avez la moindre question, vous pouvez contacter vos conseillers HelloCSE Voyages. Ils sont à votre disposition pour concevoir avec vous un voyage qui vous ressemble.

Vous pouvez aussi créer un voyage de A à Z en toute simplicité depuis HelloCSE Voyages. Composez un séjour inédit depuis zéro ! Vous profitez de nos tarifs avantageux pendant que vous piochez parmi un vaste catalogue d’hôtels et de milliers d’activités… vous maitrisez chaque détail de votre voyage et c’est simple comme bonjour !

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, avec HelloCSE Voyages vous recevez un book de voyage complet. Vous bénéficiez aussi d’une garantie sur vos voyages avec une assistance même à l’autre bout du monde. Génial, non ?

Subvention et remboursement des vacances par le CSE

Voyager grâce à son CSE, c’est aussi profiter de sa politique sociale de subvention ou remboursement de vos vacances. La subvention est une aide financière en amont de votre dépense : au moment de votre réservation, le montant subventionné par votre comité est déduit. Le remboursement, quant à lui, intervient après le paiement auprès du voyagiste, sur présentation d’une facture.

Si votre comité social et économique subventionne les vacances, vous êtes chanceux ! Vous pourrez cumuler les offres proposées sur votre espace HelloCSE au remboursement effectué par le comité. Présentez votre facture et faites vous rembourser du montant de vos vacances et celles de votre famille dans la limite des plafonds et des conditions d’éligibilité déterminées par vos élus. Rapprochez-vous de votre équipe CSE pour en savoir plus !

Le CSE : avantages et inconvénients

Le CSE : avantages et inconvénients

La réforme des instances représentatives du personnel (IRP) implique la mise en place du Comité Social et Économique dans toutes les entreprises d’au moins 11 salariés (effectif atteint pendant au minimum 12 mois consécutifs) depuis le 1er janvier 2020.

Ce changement a entraîné de nombreuses modifications par rapport au fonctionnement précédemment en place.

Vous devez mettre en place un CSE dans votre entreprise ? En tant que futurs élus ou collaborateurs concernés par l’exercice du CSE, vous souhaitez en connaître les avantages et les inconvénients ? Nous répondons à toutes vos questions !

Une simplification du fonctionnement 

Avant le CSE, les trois anciennes instances menaient des actions bien définies qui pouvaient toutefois traiter d’un même sujet :

  • Les délégués du personnel (DP) ;
  • Le comité d’entreprise (CE) ;
  • Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). 

L’instauration de cette instance unique harmonise donc les tâches autrefois dispersées.

Missions liées à la SSCT

Les missions de la CHSCT sont désormais assurées par le Comité Social et Économique (CSE) et par la Commission santé sécurité et conditions de travail (CSSCT) si elle existe.

La mise en place d’une commission SSCT se fait par accord d’entreprise mais n’est obligatoire qu’au sein des CSE d’entreprises d’au moins 300 salariés, ainsi que dans certaines entreprises dites à risques (installations nucléaires, sites SEVESO, etc.).

C’est l’employeur qui la préside et elle se compose d’au moins trois élus  désignés par le CSE.

La CSSCT se voit confier, par délégation du CSE, tout ou une partie de ses prérogatives en santé, sécurité et conditions de travail. Elle étudie par exemple des dossiers particulièrement cruciaux pour l’entreprise et qui nécessitent des études approfondies à communiquer, par la suite, au CSE.

Si une structure le souhaite, elle est en droit d’instaurer une CSSCT, et ce quel que soit l’effectif de l’entreprise, soit par un accord d’entreprise, d’un accord commun entre l’employeur et le CSE (en l’absence de délégués syndicaux).

La création de cette commission permet aux élus d’organiser le traitement des questions de santé, sécurité et conditions de travail. Ils choisissent quels dossiers plus lourds déléguer aux membres de la CSSCT afin d’en optimiser le traitement. C’est également un bon moyen de confier des missions aux suppléants car ils peuvent candidater pour siéger à la commission.

Mais une réduction du nombre d’élus

Depuis les ordonnances Macron, la baisse du nombre d’élus au comité social et économique par rapport aux anciennes instances représentatives est une conséquence largement déplorée par les acteurs du dialogue social en entreprise.

Cela oblige les membres du CSE à être plus polyvalents, et à adopter une vision plus transversale.

Le nombre d’élus dépend de la taille de l’entreprise, c’est-à-dire de son effectif, et non de sa forme juridique :

  • 1 à 2 élus dans les entreprises de – de 50 salariés ;
  • 4 à 11 élus dans les entreprises de 50 à 300 salariés ;
  • 11 à 16 élus dans les entreprises de 300 à 399 salariés…

Autre inconvénient apparu avec le passage au CSE : les membres suppléants n’ont par défaut pas le droit d’assister aux réunions du CSE, bien qu’ils épaulent les titulaires dans leurs missions.

C’est désormais un droit à négocier avec l’employeur et non plus un dû.

Nombre d’heures de délégation

Si vous étiez habitué aux volumes d’heures de délégation des anciennes IRP, sachez qu’ils ont diminué avec le passage au CSE. Un autre inconvénient qui a contrarié de nombreux experts de la représentation salariale, puisque les élus se retrouvent dans une situation où ils ont davantage de missions avec moins de temps à leur consacrer.

Le nombre d’heures de délégation dont dispose un titulaire du CSE dépend en effet des effectifs de l’entreprise. Ce nombre varie de 10 heures mensuelles (pour les entreprises de 11 à 24 salariés) à 34 heures (pour les entreprises de 9750 salariés et plus).

Par exemple, dans une entreprise de 50 salariés, avant la mise en place du CSE, il pouvait y avoir jusqu’à 8 représentants titulaires du personnel avec un total de 96 heures mensuelles de délégation maximum. Dorénavant, il n’y a plus que 4 représentants du personnel disposant de 72 heures de délégation.

Bénéficier de plus d’expertises : un inconvénient peut devenir un avantage

Comme expliqué précédemment, les questions économiques, de sécurité et d’hygiène ne sont plus exclusivement réservées au CHSCT ou à quelques membres du CE.

Cet impératif de la polyvalence peut toutefois se transformer en opportunité pour des aspirants élus. C’est l’occasion, pourquoi pas, de se former sur de nouveaux sujets et de développer ses champs de compétences et d’expertise.

Dans cette optique d’acquisition des savoirs essentiels à la conduite de leur mandat, les élus peuvent bénéficier de plusieurs formations.

Formation « économique »

Dans les entreprises de plus de 50 salariés, les membres du CSE bénéficient d’une formation économique d’une durée de 5 jours maximum, traitant de différents thèmes leur permettant d’assurer leurs missions d’ordre économique et social : formes juridiques, base de la comptabilité, mécanismes de restructuration…

À savoir :

Cette formation est renouvelée tous les 4 ans, que les mandats soient consécutifs ou non.

Formation « sécurité et hygiène »

Les membres du comité bénéficient également d’une formation nécessaire à leurs missions en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail.

Dans les entreprises de moins de 300 salariés, il y a 3 jours de formation minimum à prévoir alors que dans les entreprises de plus de 300 salariés, c’est 5 jours.

En l’absence d’une commission santé sécurité et conditions de travail, aucune durée est imposée.

À savoir : 

Il existe plusieurs formations facultatives intéressantes à suivre. 

Par exemple, pour former les élus à une fonction particulière :

  • Formation du secrétaire du CSE ;
  • Formation du trésorier du CSE :
  • Formation référent harcèlement sexuel et agissements sexistes ; 
  • Formation représentant de proximité.

D’autres formations sensibilisent tous les élus sur des sujets plus globaux, qu’ils soient titulaires et suppléants :

  • Formation réglementation et contrôle URSSAF ;
  • Formation pour comprendre et utiliser sa base de données économiques et sociales (BDES) ;
  • Formation sur la mise en place d’un règlement intérieur.

Une souplesse dans la gestion de ses budgets

Le budget du CSE est divisé en 2 parties : le budget de fonctionnement et le budget des activités sociales et culturelles (ASC).

Le CSE jouit d’une agilité dans la gestion de ses budgets dont ne disposait pas le CE auparavant. En effet, la séparation des budgets est aujourd’hui moins contraignante. 

Par exemple, le CSE peut effectuer des transferts entre les deux comptes. Le comité a ainsi la possibilité d’allouer jusqu’à 10% du reliquat annuel de son budget dédié aux activités sociales et culturelles (ASC) à son budget de fonctionnement.

Il peut également verser tout ou une partie de l’excédent annuel de son budget de fonctionnement sur son budget social et culturel.

Important : 

Cette décision ne peut être prise d’une fois le bilan comptable annuel effectué, et doit faire l’objet d’une délibération qui figure dans le procès-verbal de réunion. 

De plus, le montant transféré ne peut pas dépasser plus de 10% du budget dédié au fonctionnement.

Le pouvoir de négocier des accords collectifs

Par accord, le CSE peut se voir confier le pouvoir de négocier, de conclure et de réviser les accords d’entreprise ou d’établissement, un pouvoir auparavant dévolu aux délégués du personnel.

Ce nouvel acteur en matière de négociation collective devient alors le « conseil d’entreprise ».

Les acteurs de cette négociation collective diffèrent selon l’effectif de l’entreprise.

Entreprise de 11 à 50 salariés

Dans les entreprises dont l’effectif est compris entre 11 et 50 salariés, selon l’article L2232-23-1 du Code du travail, « en l’absence de délégué syndical, les accords d’entreprise ou d’établissement peuvent être négociés, conclus, révisés ou dénoncés » : 

  • Soit par un ou plusieurs salariés mandatés par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives (OSR) ;

  • Soit par un ou des membres titulaires de la délégation du personnel du CSE.

À retenir :

Les accords et les avenants de révision conclus avec un ou des membres de la délégation du personnel du CSE, mandaté ou non par une ou plusieurs OSR, ne sont alors valides que s’ils ont été signés par des membres du CSE représentant la majorité des suffrages exprimés lors des dernières élections professionnelles.

Entreprise de + 50 salariés sans délégués syndicaux

En revanche, au sein des entreprises d’un effectif supérieur à 50 salariés qui comptent des délégués syndicaux (DS), le CSE n’a aucune compétence pour négocier des accords collectifs. 

Renouer le dialogue interne

Les actions de la DUP n’étaient pas connues des salariés ? Les activités sociales et économiques proposées par le CE ne faisaient pas l’unanimité ? 

La mise en place d’une toute nouvelle institution comme le CSE est un bon moyen de renouer le dialogue avec les collaborateurs et de regagner leur confiance. C’est un avantage non négligeable de l’émergence du CSE : un nouveau comité, pour de nouveaux objectifs ! 

L’instauration du comité est pile l’occasion de repenser la communication autour des actions des élus, trop souvent négligée, voire inexistante, faute de temps et de budget… Le CSE a pourtant un rôle clé et donc beaucoup à partager aux collaborateurs ! 

Voici quelques outils de base indispensables pour votre communication : 

  • Un intranet (actualités, newsletters, calendrier, sondages, annuaire, messagerie…) ;
  • L’emailing, ce qui permet de pousser l’actualité en direct aux collaborateurs ;
  • Un journal interne ;
  • Un tableau d’affichage pour afficher vos comptes-rendus ; 
  • Un livret d’accueil, utile pour les nouveaux collaborateurs.

HelloCSE peut d’ailleurs vous accompagner dans votre démarche et répondre à vos besoins en matière de communication : mise en place d’un intranet personnalisé et clés-en-main, création de logo et d’une identité graphique pour le CSE… N’hésitez pas à nous contacter 🙂

Nous avons essayé de répondre à toutes vos questions afin de vous accompagner au mieux pour la mise en place de votre CSE… Vous en avez d’autres ? Posez-les en commentaires ! 

Activités sociales et culturelles : financement du CSE

Activités sociales et culturelles : financement du CSE

Le saviez-vous ? Près de 9 Français sur 10 sont des passionnés ! La plupart des français considèrent qu’avoir une passion est important (87%), qu’elle donne du sens à la vie (84%) et que pratiquer sa passion permet d’être soi-même (83%). Étant entendu que le CSE a, entre-autres, vocation à favoriser l’accès aux activités sociales et culturelles des collaborateurs, ces chiffres ne sont pas à négliger !

Les Français : des passionnés de sport et d’activités culturelles

 

Le portrait-robot du passionné

Selon l’étude « Hubsession 2019, le baromètre des passions » de Hubside et OpinionWay, une passion dure en moyenne 19 ans ! Les Français consacrent en moyenne 20h par mois à leur passion et la pratiquent une fois par semaine, notamment via internet pour 2/3 d’entre eux. En pratique, l’allocation temps des passions atteint 23% du temps hebdomadaire, contre 29% pour la vie de famille et 33% pour le travail.

 

Ce que les Français recherchent dans la pratique de leur passion, c’est d’abord le plaisir intrinsèque qu’elle procure (42%), suivi de la réalisation et l’épanouissement de soi qu’elle apporte (34%) puis du partage avec d’autres passionnés (28%) ou avec des proches (25%). La passion favorise en effet la création de liens sociaux puisque leur pratique permet de tisser des liens, rencontrer d’autres personnes et même créer des amitiés.

 

Autre chiffre notable, le budget moyen alloué à une passion est de 510€ par an, soit l’équivalent du budget de Noël ! C’est un véritable investissement financier. Justement, la différence entre un loisir et une passion tient donc dans l’intensité qu’une personne accorde à une activité. Elle se mesure en termes d’engagement en temps, financier, et d’investissement humain.

Activités sociales et culturelles préférées des français

Le palmarès des activités de loisir favorites des français est le suivant :

 41% : Activités sportives telles que le yoga, la randonnée, la marche… (Découvrez comment exercer une activité sportive pour préparer l’été à moindre coup !)

22% : Activités culturelles comme le cinéma, la photographie, la peinture, les musées…

27% : Autres activités comme les voyages, les jeux, le jardinage ou le bricolage

Ce sont justement des activités qui rentrent dans le champ d’action du comité social et économique.

Le rôle du CSE dans les activités sociales et culturelles des salariés

Les principaux freins des français dans la pratique des loisirs sont :

 45% : le manque de temps

41% : le manque d’argent

 16% : être le seul dans son entourage à pratiquer cette activité

Dans ce contexte, le comité social et économique a un vrai rôle à jouer puisqu’il peut mettre en place un certain nombre d’actions qui permettront de répondre à ces problématiques.

+ de temps pour pratiquer ses passions

Si la première limite à la pratique d’une activité est le manque de temps, le CSE peut voter des initiatives pour optimiser le temps des collaborateurs.
Certains élus prennent en effet le parti d’augmenter le temps alloué aux loisirs par rapport aux tâches ménagères ou à la vie de famille. Ils opteront alors pour des actions permettant de se défaire des contraintes du quotidien.

 

L’octroi de chèques emploi-service est une démarche plébiscitée par les collaborateurs en ce qu’elle améliore leur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Par exemple elle va permettre de limiter le temps consacré aux tâches ménagères, ou organiser la garde des enfants.

 

Dans la même idée, la mise en place d’une crèche au sein de l’entreprise ou encore subvention des activités de loisirs des enfants sont de bonnes alternatives pour libérer plus de temps aux parents.

+ de budget pour s’adonner à des activités sociales et culturelles

Le second frein des Français en matière de loisirs étant leur coût, le CSE peut intervenir et offrir un soutien financier. En la matière, un large choix s’offre à lui :

Tout d’abord, le comité peut négocier des tarifs avantageux sur des activités qui intéressent leurs collaborateurs. Places de cinéma moins chères, abonnement à une salle de sport à petit prix, cours de photo moins chers, remises sur l’inscription à une école de musique, voyages moins chers, réductions sur les magasins de jardinage ou de bricolage…
À titre d’exemple, 58% des Français se passionnent pour un événement sportif (Tour de France, Ligue des Champions, Roland Garros), il serait pertinent de leur proposer des remises sur ce type de rencontres, pour en profiter à moindres frais.

Cela dit, il est très chronophage pour les élus de négocier des partenariats sur un panel assez large de loisirs pour répondre aux envies de tous les collaborateurs. Des prestataires externalisés comme HelloCSE permettent justement de proposer des tarifs préférentiels sur des centaines d’activités et satisfaire le plus grand nombre !

Les élus peuvent aussi subventionner les activités sociales et culturelles de leurs bénéficiaires : subventions cinéma, subventions sport, subventions culture… sur HelloCSE, le comité peut paramétrer ses subventions pour correspondre à sa politique sociale.

Dans la même idée, si le budget œuvres sociales le permet, il est possible de contribuer au financement des hobbies des salariés en offrant des chèques cadeaux. Alloués directement sur la plateforme HelloCSE, les e-chèques cadeaux pourront être utilisés sur des offres culturelles et sportives.

Enfin, un système de remboursements peut être mis en place pour prendre en charge une partie des dépenses de loisirs engagées par les ayants-droit et éventuellement les ouvrants-droit. Sur présentation d’une facture, le collaborateur pourra récupérer tout ou partie de ses dépenses de loisirs, la procédure est très simple et rapide sur HelloCSE !

+ de lien social autour des loisirs des salariés

La solitude empêche des salariés de vivre leur passion à fond ? Des initiatives s’offrent au comité social et économique pour y remédier !

Au sein d’une entreprise, il est probable que plusieurs salariés partagent une même passion ou aient les mêmes loisirs, aussi le CSE peut profiter de son pouvoir de mutualisation pour leur en faciliter l’accès. On pense spontanément aux voyages collectifs, qui rassemblent nombre de collaborateurs, mais cela peut aussi être la mise en place d’une équipe de rugby en interne ou encore des projections de films, des ateliers de loisirs créatifs au sein de l’entreprise, mais aussi une troupe de théâtre, un orchestre, des cours de peinture…

Ce type d’initiative sera salué par les équipes parce qu’il favorise naturellement la création de lien entre les gens, ce qui est bénéfique sur le plan individuel comme collectif. Les bénéficiaires pourront s’adonner à leur passion aux côtés de collègues qui partagent les mêmes intérêts et leur qualité de vie s’en ressentira.

Faire de la place pour les loisirs des ayants-droit dans le cadre du travail permet en outre de contourner le manque de temps qu’ils ont à accorder à des activités qui leur procurent pourtant du bien-être. Planification d’ateliers sur la pause déjeuner, intégration d’une salle de sport au bureau ou encore planification de répétitions après le travail sont autant de façons d’optimiser son temps pour faire de la place aux activités sociales et culturelles.

Vous avez des questions sur la meilleure façon de financer les activités sociales et culturelles des collaborateurs ? Contactez l’équipe HelloCSE, nous experts vous aideront à mettre en place une politique sociale adaptée aux envies de vos collaborateurs.